mardi 27 novembre 2012
___Serait-ce le Printemps noir..!!!! (Black Spring) Pour ne pas oublier le printemps noir.. Face à l'ingérence du Rwanda en RDC, les pays occidentaux réduisent leurs aides. "PILLAGE INSTITUTIONNALISÉ"
mardi 27 novembre 2012 à 16:29 :: ___Battlefiel IV - BLOODSLATTERS - Survival Of The Fittes - Everyday Gun Play - Street Life
Printemps noir peut désigner :
- le Printemps noir (Kabylie) en 2001
- le Printemps noir (Cuba) en 2003
- Printemps noir, roman publié en 1936 d'Henry Miller
Printemps noir (Cuba) Aller à : Navigation, rechercher Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Printemps noir.
Le Printemps noir est une répression politique de 2003 par les autorités cubaines sur ses dissidents. Le gouvernement cubain a emprisonné 75 dissidents, dont 29 journalistes, des bibliothécaires, des militants des Droits de l'homme et des militants de la démocratie. Il les a accusé d'avoir été des agents des États-Unis en acceptant l'aide du gouvernement américain.
Magré le fait qu'Amnesty International ait établi que les 75 cubains étaient des prisonniers politiques, Cuba considéra que « les 75 personnes arrêtées, jugées et condamnées en mars, avril 2003 devaient être emprisonnées car elles étaient directement à la solde du gouvernement américain. Elles n'ont pas été arrêtées pour leurs idées, mais pour avoir reçu des fonds du gouvernement américain et pour avoir collaboré avec des diplomates américains. »
La répression contre les militants a commencé le 18 mars et a duré deux jours, en coordination avec l'invasion américaine de l'Irak pour la discrétion.
Répondant à des violations des droits de l'homme, l'Union européenne a imposé des sanctions sur le régime de Fidel Castro en 2003, qui ont été levées en janvier 2008. L'Union européenne a déclaré que les arrestations « constituait une violation des droits les plus élémentaires de l'homme, en particulier en matière de liberté d'expression et d'association politique ».
Finalement, tous les dissidents ont été libérés, dont la plupart s'est exilé en Espagne à partir de 2010.
Le Printemps noir (en kabyle Tafsut taberkant est le nom donné aux violentes émeutes qui ont éclaté en Kabylie, région berbère du nord de l'Algérie, et leur répression par l'armée algérienne entre avril 2001 et avril 2002. Le nombre de morts parmi les manifestants s'élève à 1261 et le nombre de blessés à plus de 5000.
Printemps noir (roman) Aller à : Navigation, rechercher Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Printemps noir.
Printemps noir (Black Spring), publié en 1936, est un roman de l'auteur américain Henry Miller, sans doute le plus sombre et le plus désespéré de toute son œuvre.
Alors que Miller montrera plus tardivement toute la force de son enthousiasme et de sa confiance dans les vertus d'inventivité de l'Amérique et dans l'énergie sexuelle et créatrice de la jeunesse, notamment dans la trilogie de La Crucifixion en rose, Printemps noir est marqué par la dépression et le pessimisme, révélant une autre facette de la personnalité de l'auteur.
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Attaque des rebelles du FDLR contre le Rwanda, selon Kigali
Attaque des rebelles du FDLR contre le Rwanda, selon Kigali
Le Monde.fr avec AFP | 27.11.2012 à 10h46 • Mis à jour le 27.11.2012 à 12h54
Partager facebook twitter google + linkedin Au Rwanda, des combats ont opposé, mardi 27 novembre, l'armée à des rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), venus de l'est de la République démocratique du Congo (RDC), où ils sont basés, a affirmé le porte-parole de l'armée rwandaise.
Le général Joseph Nzabamwita a indiqué dans un SMS adressé à l'AFP que les combats s'étaient déroulés sur les contreforts des volcans dans le département de Gisenyi (Nord-Ouest), frontalier de la RDC, où les FDLR, opposés au régime de Paul Kagame, multiplient les exactions depuis 1994. "Les forces armées du Rwanda combattent des éléments FDLR qui ont attaqué dans les secteurs de Cyanzarwe et Bugeshui, dans le district de Rugavu", indique le SMS. "Les éléments FDLR ont traversé la frontière depuis la RDC pour entrer au Rwanda".
L'attaque a été menée "vers 5 heures du matin", 4 heures, heure de Paris, "par deux compagnies" rebelles, soit un total de plus de cent hommes. "Au moment où nous parlons, certains membres des FDLR ont fui vers la RDC, d'autres à l'intérieur du territoire rwandais", a précisé le général Nzabamwita, assurant que ses forces avaient pris le dessus.
LES FDLR À CÔTÉ DES REBELLES DU M23
Les FDLR sont essentiellement basées dans la province congolaise orientale du Nord-Kivu, riche province minière, où les rebelles du M23 combattent de leur côté depuis le printemps les forces gouvernementales de RDC et dont ils ont pris la ville principale, Goma, à la mi-novembre.
L'ONU et le gouvernement de République démocratique du Congo accusent Kigali de soutenir militairement le M23, ce que Kigali dément, accusant en retour Kinshasa, qui réfute, de soutenir les FDLR. Si les FDLR, accusées par Kigali d'être constituées d'anciens responsables du génocide rwandais de 1994, ont multiplié durant des années les incursions au Rwanda, cela fait plusieurs années que de telles attaques n'avaient plus été signalées.
Le président du M23 Jean-Marie Runiga a déclaré mardi que son mouvement rebelle quittera "très vite" Goma, si Kinshasa répond à ses revendications, lors d'une conférence de presse à Goma. "Avant le retrait" de Goma, le M23 demande notamment au gouvernement congolais une enquête sur la tentative d'assassinat d'une médecin au Sud-Kivu, d'accorder la liberté de mouvement de l'opposant Etienne Tshisekedi, la dissolution de la Commission électorale congolaise, a déclaré M. Runiga, chef politique de la rébellion.
Face à l'ingérence du Rwanda en RDC, les pays occidentaux réduisent leurs aides Le Monde.fr | 10.08.2012 à 07h41 • Mis à jour le 05.09.2012 à 04h59 Par Aymeric Janier
Le président rwandais, Paul Kagame, le 26 janvier 2008, à Kigali.
L'heure n'est plus à la flagornerie. Ni aux échanges diplomatiques doucereux et policés. Depuis qu'un rapport d'experts des Nations unies (PDF), rendu public le 27 juin, a explicitement accusé le Rwanda de déstabiliser la République démocratique du Congo (RDC) voisine par le truchement d'armes, de munitions et de combattants, le "pays des mille collines" est victime d'un désamour patent de la part de ses principaux partenaires occidentaux.
Ceux-ci s'indignent du soutien apporté officieusement par l'ex-protectorat belge au Mouvement du 23-mars, groupe de mutins congolais en butte depuis mai à l'autorité de Kinshasa. Censé intégrer l'armée régulière aux termes d'un accord scellé le 23 mars 2009, le M23 – issu d'une ex-rébellion tutsie en RDC, le Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) – a fini par se retourner contre le président Joseph Kabila, faute d'obtenir les gages souhaités. Le Rwanda se serait d'autant plus volontiers engouffré dans cette brèche qu'il a soutenu naguère le CNDP pour mener, sur le sol congolais, la chasse aux génocidaires et rebelles hutus rwandais – lesquels représentent toujours, à ses yeux, une sérieuse menace.
Lasse de ce jeu trouble, une partie de la communauté internationale a décidé de hausser le ton à l'égard du régime de Paul Kagame, lui-même tutsi. La situation, en effet, est critique : au cours des quatre derniers mois, les combats dans l'est du Nord-Kivu – zone frontalière du Rwanda et de l'Ouganda, où sont situées les bases du M23 – ont contraint plus de 220 000 Congolais à fuir leur domicile, accentuant le déséquilibre qui frappe la région déjà tourmentée des Grands Lacs. D'après une étude dévoilée en juin par le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA, Office for the Coordination of Humanitarian Affairs), près de 17,3 millions de Congolais se trouveraient en état d'insécurité alimentaire aiguë.
Lire aussi : Une guerre à secrets dans l'est du Congo-Kinshasa (lien abonnés)
Carte de la région des Grands Lacs.
- INITIATIVE SYMBOLIQUE
A la fin de juillet, les Etats-Unis ont été les premiers à monter au créneau. La diplomatie américaine a ainsi suspendu 200 000 dollars (environ 164 000 euros) d'aide destinés à une école militaire. Faut-il y voir une inflexion de la posture adoptée par Washington vis-à-vis de son allié ? "L'initiative américaine est essentiellement symbolique, dans la mesure où les montants en jeu ne sont pas déterminants. L'essentiel de l'appui militaire américain se fait au niveau de la Communauté de l'Afrique de l'Est organisation qui, outre le Rwanda, regroupe le Kenya, la Tanzanie, l'Ouganda et le Burundi", souligne André Guichaoua, professeur à l'université de Paris-1 et témoin-expert près le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
"Ce qui, de mon point de vue, est plus significatif, ce sont la déclaration du Congrès américain du 3 août fustigeant le manque de transparence du gouvernement rwandais, notamment sur son implication en RDC et les propos tenus par Stephen Rapp, l'ambassadeur itinérant chargé des crimes de guerre au Département d'Etat lequel a affirmé que les dirigeants rwandais pourraient être poursuivis devant la CPI pour aide et complicité de crimes contre l'humanité dans un pays voisin", précise-t-il.
Les Etats-Unis, en dépit de leurs objurgations, ont fait savoir qu'ils ne retireraient pas leur soutien financier à la formation des troupes destinées à prêter main-forte à l'ONU. Et pour cause : au 30 juin, pas moins de 4 571 soldats et policiers rwandais étaient impliqués dans diverses opérations de maintien de la paix à travers le monde – soit la sixième plus importante contribution à l'institution onusienne en termes d'effectifs derrière le Pakistan, le Bangladesh, l'Inde, l'Ethiopie et le Nigeria.
Dans la foulée de l'administration Obama, plusieurs Etats européens ont, eux aussi, entrepris ces dernières semaines de rappeler Kigali à l'ordre. Les Pays-Bas ont lancé le mouvement, mettant en suspens une aide de cinq millions d'euros prévue pour soutenir le système judiciaire. La Grande-Bretagne (20 millions d'euros) et l'Allemagne (21 millions d'euros) leur ont emboîté le pas. "Ce faisant, les Européens ont profité de l'opportunité qui leur était offerte pour recouvrer un minimum de dignité diplomatique par rapport à des faits qu'ils connaissent et qui sont documentés. Par le passé, ils ne sont pas intervenus parce que le Rwanda pratiquait un chantage à la déstabilisation de la région. Mais celle-ci s'est aggravée, au point que la situation est devenue intenable", analyse M. Guichaoua.
- "PILLAGE INSTITUTIONNALISÉ"
Des travailleurs dans une mine d'or d'Iga Barriere, dans l'est de la République démocratique du Congo.
Ces "suspensions en cascade", fait inédit, s'apparentent à un désaveu personnel pour Paul Kagame, longtemps considéré – et porté aux nues – par les bailleurs de fonds étrangers comme le principal architecte du redressement économique du pays après le terrible génocide de 1994 (800 000 victimes). De fait, quelle autre nation d'à peine dix millions d'âmes et au passé si tragique peut se targuer d'avoir connu, au cours des cinq années écoulées, un taux de croissance moyen de son PIB de 8,2 % – taux qui, aux dires des autorités, aurait permis de tirer un million de personnes de la pauvreté en pleine crise mondiale ?
Aujourd'hui, ce succès ne suffit toutefois plus à faire taire les critiques. Aux accusations répétées d'ingérence en RDC, Paul Kagame oppose les dénégations les plus fermes, arguant notamment qu'une telle politique "serait contraire aux intérêts de son pays". "Nous ne fournissons pas une seule balle aux rebelles congolais. Nous ne l'avons pas fait et nous le ferons pas", a-t-il assuré. L'argument ne convainc personne.
Depuis que le Rwanda a envahi son turbulent voisin, en 1996 et 1998 – chassant, à cette occasion, le dictateur Mobutu Sese Seko –, ses élites ont largement profité, et profitent toujours, des richesses minières que recèle le sous-sol congolais (cobalt, cuivre, étain, or). Selon certaines estimations, le fruit de ce "pillage institutionnalisé" rapporterait à Kigali plusieurs dizaines de millions de dollars par an. Une richesse sciemment mise sous le boisseau, qui a aussi son intérêt politique. "Grâce aux canaux parallèles, la nomenklatura achète la paix sociale. L'ordre qui règne à Kigali et les aspirations de Kagame à faire du Rwanda le Singapour du continent africain d'ici à 2020 sont financés par ce biais-là", pointe André Guichaoua.
- ALTERNANCE EN PRÉPARATION
Les présidents de la République démocratique du Congo et du Rwanda, Joseph Kabila et Paul Kagame.
En faisant fi des coups de semonce lancés par ses principaux partenaires, le Rwanda accentue cependant son propre isolement et joue une partition délicate. Diplomatiquement, d'abord, car il brigue toujours un siège au Conseil de sécurité de l'ONU. Financièrement, ensuite, dans la mesure où l'aide étrangère représente près de la moitié de son budget (45 %). Les Occidentaux pourraient-ils finir par rompre tout lien avec leur partenaire ? L'hypothèse, juge M. Guichaoua, est inenvisageable à court terme. "Il n'existe pas dans la région d'autre puissance susceptible d'assurer la cohésion en matière d'ordre et de stabilité. De fait, Kigali a les coudées franches. En outre, tant que Kabila et Kagame n'abattront pas clairement leurs cartes sur ce qu'ils attendent de cette nouvelle confrontation, les chancelleries occidentales ne pourront pas aller plus loin", observe-t-il.
Sur le front intérieur, Paul Kagame, au pouvoir depuis avril 2000, a en grande partie perdu son aura d'invincibilité. Ses opposants, toujours plus nombreux, fustigent un pouvoir "solitaire" et "autoritaire", coupable de multiples violations des droits de l'homme. L'intéressé, lui, s'en défend véhémentement. Reste que beaucoup, mezza voce, travaillent déjà à l'alternance. "C'est aussi la raison pour laquelle les Américains ne sont pas inquiets, conclut M. Guichaoua. D'ailleurs, eux-mêmes ont commencé à préparer les officiers rwandais de demain..."
Aymeric Janier
Le Monde.fr | 25.11.2012 à 18h28
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Des rebelles du M23 à Goma, le 23 novembre.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) a affirmé dimanche que les rebelles devaient quitter la ville de Goma avant toute négociation alors même que les mutins exigent d'entamer d'abord des discussions directes avec le président Joseph Kabila.
Ce dernier est rentré dimanche de Kampala où il s'est entretenu pour la première fois avec le président du M23, Jean-Marie Runiga Lugerero, dans le cadre d'une médiation organisée par le président ougandais. D'après le chef rebelle, les deux hommes devaient se retrouver à nouveau le lendemain pour "parler des modalités" des négociations et des "points" à l'ordre du jour. Mais le bras de fer a repris dimanche entre les parties.
Dimanche, le gouvernement a précisé, par la voix de son porte-parole, que le retrait de la ville de Goma était "un impératif tout à fait majeur et incontournable". Campant sur ses positions, Jean-Marie Runiga Lugerero a réaffirmé depuis Kampala que "le retrait de Goma ne doit pas être une condition pour les négociations mais doit être le résultat des négociations". La veille, déjà, il avait conditionné ce retrait à des discussions "directes" avec le chef de l'Etat et réaffirmé que la rébellion se défendrait en cas d'attaque de l'armée.
Selon un diplomate occidental dans la région, le président ougandais aurait accepté de rencontrer directement le chef militaire du M23 Sultani Makenga mais cette information n'a pu être confirmée. Les rebelles étaient toujours présents dimanche à Goma et la présence des soldats de la Mission de l'ONU pour la stabilisation de la RDC (Monusco) – qui appuie l'armée congolaise contre les rebelles – était plus importante dans les rues que les jours précédents.
Le chef militaire du M23 Sultani Makenga, le 25 novembre à Goma.
Le M23 est composé d'anciens rebelles ayant intégré l'armée en 2009, avant de se mutiner en avril dernier, arguant que Kinshasa n'a pas pleinement appliqué les accords de paix du 23 mars 2009. Ils combattent depuis l'armée régulière dans la région du Kivu, théâtre depuis une vingtaine d'années de conflits quasiment ininterrompus avec l'ingérence des pays voisins.
PAUL KAGAME ABSENT DU SOMMET DE KAMPALA
A l'occasion du sommet extraordinaire de Kampala, qui a réuni quatre chefs d'Etats de la région (ougandais, congolais, kenyan et tanzanien), les responsables politiques ont exigé l'arrêt des hostilités, le départ des rebelles de Goma avant mardi et leur retrait à une vingtaine de kilomètres au nord de la ville, tout en recommandant à Joseph Kabila d'"écouter, d'évaluer et de prendre en compte les revendications légitimes" des rebelles.
Le président rwandais Paul Kagame était le grand absent de ce sommet régional, alors même que son pays est accusé par Kinshasa et par des experts de l'ONU de soutenir – et diriger – le M23 qui compte principalement dans ses rangs des Congolais d'ethnie tutsi.
Durant le week-end, le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, a fait spécialement le déplacement à Kigali pour s'entretenir avec son homologue rwandais. Les deux hommes ont "invité" Kinshasa et les rebelles du M23 "à mettre en œuvre les conclusions de Kampala qui représentent une bonne base pour le règlement de ce conflit", selon les termes d'un communiqué publié par le gouvernement rwandais.
De leur côté, des ONG dans l'est de la RDC ont accusé dimanche le gouvernement congolais de s'être "courbé" au sommet de Kampala face aux "Etats agresseurs", sans citer le Rwanda et l'Ouganda voisins. La fédération d'ONG Société civile du Nord-Kivu s'est dit "complètement déçue des résolutions adoptées" qui n'ont fait que "légitimer le M23", selon elle, "en humiliant la nation congolaise et en bradant sa souveraineté".
L'Union africaine (UA) a, à son tour, appelé dimanche le M23 à se conformer aux décisions prises à Kampala mais a également salué "l'engagement du gouvernement de la RDC (...) à prendre en compte toute revendication légitime" du mouvement. "Le sommet (...) a dressé un plan en dix points qui prévoit le retrait immédiat des éléments du M23 de tous les endroits qu'ils ont récemment occupés ainsi que l'établissement d'arrangements de sécurité pour suivre la situation sur le terrain", a déclaré dans un communiqué la présidente de la commission de l'UA, Nkosazana Dlamini Zuma.